Chapitre 705
Lorraine s’est empressée de s’expliquer :
– Messieurs, ne croyez pas ses paroles. Mon mari a été chassé de sa famille depuis tôt. Il n’a rien à voir avec elle !
Un policier a regarde Lorraine et puis s’est tourné vers Mme Xavier pour demander : – Ce qu’elle a dit est vrai ou
pas ? – C’est pas vrai! a dit Mme Xavier en Kâte, j’ai juste pris la parole sur le coup de la colère ! – Parole
prononcée sur le coup de la colère ? Kyan s’est mis en colère. Il a lâché les mots :
– Tu ne nous as pas permis de demeurer dans la villa des Xavier depuis très tôt. De plus, tu as chassé ma fille et
moi du Groupe Xavier, voire tu as détourné les pensions de Lorraine et moi. Enfin, tu as cessé toutes relations avec
moi. Maintenant, parce que tu deviens pauvre, tu m’as dit que c’était la parole prononcée sur le coup de la colère
?!
Le policer a froncé les sourcils et demandé :
– Cette villa est à qui ? Clément a répondu :
– A moi.
Le policier a hoché la tête pour demander à nouveau :
Follow on NovᴇlEnglish.nᴇt– Alors quelle est la relation entre vous et cette dame ? – Pas de relation, a ajouté Clément, elle est grand-mère de
ma femme; Puis le policier a dit à Mme Xavier :
– Vous vous êtes trompée du lieu. A propos de l’entretien, vous pouvez discuter avec vos fils et filles. Mais il ne faut
pas forcer la porte du mari de votre petite-fille. Vous êtes suspectée d’être entrée en intrus dans le foyer d’autrui
et d’avoir tenté de chercher querelle et fabriquer trouble.
– Quoi ?! Mme Xavier l’a injurié avec fureur :
– Vous étes con ou pas ? C’est la maison de mon fils, pourquoi ne pourrais-je pas venir ? Le policier s’est expliqué
avec patience : – La clef est que ce n’est pas la villa de votre fils, compris ? – Compris quoi la injurié Mme Xavier, je
n’ai compris rien ! De toute façon, ils doivent m’héberger aujourd’hui. Sinon, je ne bougerai pas ! Ehonté, Brice a
aussi láché les mots :
– Je suis frère de Kyan. Maintenant que je n’ai pas un logement, il est responsable de me nourrir. S’ils ne nous
hébergent pas, nous ne quitterons pas !
– Oui, nous ne quittons pas ! Hugo et Vivian se sont aussi assis sur le sol pour s’attarder ici. Le visage de Lorraine
s’est rembruni à l’extrême. Elle a dit : – Vous quatre éles très énontés ! Vous comptez rester chez moi tout le
temps, non ? Mme Xavier a parlé en serrant les dents :
– Avant que tu me permettras d’habiter ici, j’aurai été assise sur place toujours i Je ne mangerai ni ne bolrai! Je
mourrai devant ta porte. Je t’importunerai quand même après avoir devenu fantôme !
Lorraine s’est figée. Clément était aussi étonné. Ce n’était pas le procédé auquel sa belle-mère avait recouru
lorsqu’elle avait injurlé autrui au loin dans le quartier précédent 7 Evidemment, Lorraine et Mme Xavier étaient de
même fabrique. Le policier regardait ces quatre personnes. Puis il a fait un geste de la main à ses subordonnés et
dit : – Venez et ramenez ces gens.
– D’accordi Les autres policiers se sont empressés de les maitriser et leur mettre les menottes, Mme Xavier etait
stupéfalte de ce qu’ils avalent fall. Elle a dit avec colère; — Monstew, vous vous étes trompé, non ? Ce sont eux qui
m’ont répudiée. Pourquoi m’attrapez-vous ? le policipy iw a jeté un coup d’oeil et puis dit :
– Vous nes suspectées d’avoir tenté de chercher querelle et fabriquer trouble. Conformément aux règlements de
police, nous vous Heldents: unpendant quinze jours
ure Xavier s’estermpressade de se débattre en disant:
POUR MOI * Savez-vous pas distinguer la taillon er le ton ? Vous présentez les faite à l’envers et nous accusez
injustement ! i la por a forma les sourcils et puis pris la parole
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– W o wolns, Hit Soluta en justice propos de la répudiation Lo cour le jugere. Mais vous ne pouvez pas venir
provoquer des troubles
*11*0150011 If mutlu Dent tiyal!..
Sur ce, il les a avertis :
– Vous quatre ferez mieux d’être sages. Si vous contimez à vous écrier voir vous débattre, nous maintiendrons que
vous empêcherez les affaires publiques. A ce moment-là, il serait possible que vous soyez condamnés
Mme Xavier était si désespérée pour parler sans réflexion:
– Pourquoi ! Pourquoi ! Pourquoi m’attrapez-vous ? Je ne suis qu’une pauvre vieille qui n’a pas une résidence. Même
si c’est par pitié, vous ne devez pas m’attraper !
Le policier a dit d’une voix froide : :
– Même si vous êtes pauvre, vous devez obéir aux lois ! Ramenez tout le monde !
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